L’évolution exponentielle des activités humaines depuis les trente dernières années bouleverse tout. C’est comme si, de nos jours, plus personne ne sait réellement où va le monde, qui le dirige, voire même s’il y a encore quelqu’un aux commandes…
La seule règle incontournable est « le profit à tout prix », y compris au prix de notre qualité de vie et de notre environnement, avec toutes les conséquences que nous constatons dans nos sociétés.
Comment sortir de cette spirale induite ? Comment inverser la vapeur et retrouver le sentiment qu’il y a un sens à la vie et qu’elle mérite d’être vécue ? En fait, comment réconcilier l’individu avec toutes les organisations avec lesquelles il interagit à chaque instant ?

L’être humain est beaucoup plus qu’une simple ressource jetable.
Très souvent, une entreprise considère que l’individu apporte une valeur ajoutée entre, disons, 25 et 45 ans. Avant, il est trop inexpérimenté et après, trop cher.
Durant ses 20 années de pleine activité, l’entreprise lui demande alors le maximum – atteinte des objectifs, performance, engagement, présence, adaptabilité, créativité – et le ‘motive’ avec des primes, avantages divers et plans de carrière. Pourtant, l’individu est très souvent ‘livré à lui-même’ ; il accomplit des tâches pour lesquelles il a été formé tout en ignorant les règles essentielles qui apportent la fluidité dans son organisation et l’optimisation de sa propre puissance.
« Comment se fait-il qu’après son travail, l’individu ne veuille rien faire d’autre que s’affaler devant la télévision ? Une fatigue de ce genre est une chose courante, on s’y est habitué, mais est-elle normale ? Personne ne s’étonne non plus que le syndrome de fatigue chronique et de stress se soit transformé en norme de vie de l’homme moderne. Et cela aussi est soi-disant normal. »*
Parce que ses collègues ou supérieurs sont souvent dans le même cas, les non compréhensions, conflits, déprimes et burnouts sont légions et l’entreprise souffre de dysfonctionnements chroniques et récurrents qui la pénalisent dans ce monde où la concurrence fait rage.
Le sentiment de peur se répand chez une majorité d’employés et cette peur – d’être rétrogradé, privé d’évolution ou mis à la porte – bloque toute initiative et toute possibilité de progression.
L’immobilisme s’installe ; il faut faire quelque chose. Alors, l’entreprise cherche de nouveaux moyens d’assurer « le profit à tout prix ». Elle restructure et initie un énième changement qui ne fait qu’augmenter le sentiment d’insécurité chez ses employés… « Ca y est, qu’est-ce qu’il vont encore nous trouver ‘là-haut’ ? »

Les dysfonctionnements dans l’organisation pourraient être évités.
Nous disposons, grâce aux progrès scientifiques, de plus en plus de moyens techniques dans la connaissance de l’humain et d’outils lui permettant d’interagir avec les lois de l’univers pour favoriser sa réussite. L’organisation, en favorisant l’intégration de ces outils en son sein, évolue vers plus de fluidité dans les processus internes, plus de créativité, de performance, de sérénité, de résilience et de durabilité.

La méthode est simple : favoriser le mode ‘progression’ en lieu et place du mode ‘défensif’.
Je m’explique :
Toute personne est conditionnée depuis sa naissance par son éducation et ses expériences de vie. Toute sa vie, elle entend des « Il faut ! Tu dois ! ». Si elle ne les applique pas, elle risque de se faire punir. Au stade de l’enfance, la punition est assimilée à une privation d’amour ; l’enfant pense alors « Il y a une partie de moi qui n’est pas aimable » et rentre dans le processus de baisse d’estime de soi et de confiance en soi, les deux principaux « apporteurs d’affaire » des coachs et thérapeutes.
L’adulte agit inconsciemment selon ce même conditionnement. Les « Il faut ! Tu dois » font partie de sa vie familiale, sociale, citoyenne et professionnelle, amplifiés par le catastrophisme récurrent dont l’abreuvent les médias en tous genre – TV, journaux, radios, Internet – et certaines organisations – politiques et religieuses. Par ailleurs, la publicité et le ‘people system’ lui font penser que le monde idéal est inatteignable, en tout cas pas pour lui…
« Ce monde n’est pas ‘sécure’, je risque à chaque instant de tout perdre, y compris mon job ». Avec une telle croyance, autant rester docilement à sa place et ne pas prendre d’initiative ou, au contraire, tout faire pour saboter le concurrent, surtout s’il travaille dans la même organisation. D’où le mode ‘défensif’.

En mode ‘progression’, vous et moi sommes conscients que chaque instant détermine le suivant.
Nous savons que notre état psychologique est générateur d’actions qui produiront des conséquences en rapport.
Nous savons que prendre une décision sous stress n’est pas l’idéal loin s’en faut et prenons du recul pour poser notre choix dans la sérénité.
Nous savons aussi qu’interagir sous stress avec les autres génère des tensions et dysfonctionnements dans l’équipe et savons maîtriser nos réactions émotionnelles.
De façon plus subtile, nous sommes conscients, en mode ‘progression’, que lorsque nous sommes bien dans notre peau, immanquablement, les choses se passent bien. Tout est plus simple, facile ; nous sommes beaucoup plus réceptifs aux opportunités que la vie nous propose : une rencontre appropriée sur tel projet, une information qui déboule au bon moment, un problème qui se résout de lui-même et un environnement humain qui nous sourit.

Quand un imprévu surgit, comme c’est de plus en plus le cas dans ce monde en plein bouleversement, un individu en mode ‘défensif’ perçoit une attaque qui le met en péril.
Quand un imprévu surgit, en mode ‘progression’, nous y voyons une opportunité de progresser, de nous adapter, d’évoluer et de nous enrichir d’une nouvelle expérience. Le monde est un champ d’expérience qui nous permet de progresser à chaque instant, en accord avec cette loi essentielle qui considère l’immobilisme comme la mort. La vie est mouvement permanent – certains parlent de chaos permanent – et génère inéluctablement l’impermanence ; toute autre vision est illusion.
La décision de favoriser le mode ‘progression’ dans son organisation appartient à son ou ses dirigeants.
Ce faisant, il transforme la règle « le profit à tout prix » en « l’abondance pour tous ». Abondance de bien être, de sérénité, de sourires, d’entraide, d’interactions, de créativité…
Ce faisant, il favorise la motivation par le plaisir de travailler tous ensemble en accord avec la finalité de l’organisation.
Ce faisant, il apporte à son organisation la résilience, c’est à dire, cette faculté d’adaptation indispensable dans ce monde.
Ce faisant, il permet l’efficience, c’est à dire l’aptitude à réaliser une tâche de la meilleur manière tout en dépensant moins d’énergie – humaine, logistique, matérielle, peu importe…
Ce faisant, il permet à toute personne qui investit dans l’organisation, actionnaires, collaborateurs, fournisseurs, clients, voire médias aussi, d’y trouver à la fois la sécurité – l’organisation est capable de réagir et de s’adapter – et la vision à long terme.
Il a compris que favoriser l’épanouissement de l’humain au sein de son organisation est la condition sine qua non pour permettre l’épanouissement de l’organisation jusqu’à devenir une référence dans son domaine, son environnement.

Les outils existent ; NeuroQuantis vous les met à disposition.
Ils ont été testés avec succès ; leur intégration favorise le changement viral dans l’organisation. Fini les grand-messes ‘powerpoint’ et les grandes déclaration. C’est par le changement de comportement de ses leaders que la culture de l’organisation change… en douceur et de façon définitive.
Ces outils sont à la disposition des coachs, formateurs, des personnes qui s’impliquent dans les ressources humaines mais aussi des managers et des salariés, bien entendu.

Le reste n’est qu’une question de choix, votre choix.
NeuroQuantis a été créé sur les conseils d’un ami banquier, investisseur dans les start-up. Ce modèle a pour objectif de diminuer sensiblement les dysfonctionnements humains dans toute organisation ; c’est un objectif sous contrôle dès lors que le leader de l’organisation est volontaire.
Le but de NeuroQuantis est de favoriser dans la durée la présence de l’humain sur la planète ; de remplacer par « l’abondance pour tous » cette règle mortifère que plus personne ne contrôle : « le profit à tous prix ».
C’est un but, il est hors contrôle ; c’est un méta-objectif qui me donne toute la motivation d’avancer vers l’objectif qui lui est concret, pragmatique, réaliste, mais dépend aussi de vous…
Alors, quel est votre choix ? Quel est ‘notre’ choix à tous ? Nous sommes chacun acteurs et metteurs en scène de notre réalité commune. Que décidons-nous ?
Au plaisir de co-construire et partager avec vous une chouette réalité.

Olivier Masselot
Investigateur et diffuseur de nouvelles pistes
Auteur de NeuroQuantis – Un livre publié aux éditions Courrier du Livre
Fondateur de www.neuroquantis.com

* Conférence de Vadim Zeland à Biarritz le 1er décembre 2012


    1 Response to "L’approche NeuroQuantis dans un monde en plein bouleversement…"

    • Véronique Simon

      A diffuser sans modération… c’est fait ;-)

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